dnvnl

joined 1 year ago
[–] dnvnl@jlai.lu 1 points 4 months ago

La question etait pour qqun qui commence a 24 ans donc c'est a ca que je repond

[–] dnvnl@jlai.lu 5 points 4 months ago (2 children)

Loin de moi l'idee de fendre ces sacs a merde d'extreme droite, mais il a juste fait le calcul que tout le monde devrait faire. CAD : age de debut de carriere + nombre d'annuite = 24 + 42 = 66. Mais c'est la meme chose avec le gvt actuel.

Sa seule erreur pour le coup c'est d'avoir expliquer ca et d'avoir en face de lui des journalistes qui ne connaissent rien au système de retraite. Attal aurait fait le meme calcul mais il l'aurait formule autrement, il n'aurait pas sorti ce chiffre de 66 ans.

Au passage si LFI ne touche pas aux annuite (et ce n'est pas dans le programme du NFP), ils pourront baisser l'age de la retraite a 40 ans et le calcul sera le meme : 24 + 42 = 66. La seul diff c'est qu'on pourra partir avant pour toucher beaucoup moins.

 

Suite aux récents éventements, les éditions libertalia et la collectif La Horde mettent a disposition gratuitement le livre (10 questions sur l'antifascisme).

Telechargement : PDF et EPUB

[–] dnvnl@jlai.lu 4 points 5 months ago (1 children)

Correction : "Des syndicats parisiens appellent a manifester un samedi contre l'extreme-doite"

[–] dnvnl@jlai.lu 1 points 5 months ago (1 children)

Flemme de me taper une video d'une heure honnetement. Si t'as un TDLR ce serait plus interessant.

[–] dnvnl@jlai.lu 2 points 5 months ago (3 children)

Ca depend encore une fois. J'ai pas lu le texte mais si c'est un truc pour autoriser la fin de vie dans le but de se débarrasser de personnes au lieu de leur fournir de bonnes conditions de vie, c'est difficile d’être pour (je parle des handis surtout).

[–] dnvnl@jlai.lu 4 points 5 months ago

Fin de vie : à gauche, les opposants au texte tentent d'avoir une voix

Charlotte Belaïch

Très minoritaires dans leurs familles respectives, les «cathos de gauche» veulent faire valoir des arguments «de gauche» pour s'opposer au projet de loi qui arrive dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale ce lundi 27 mai.

La salle Lamartine est clairsemée ce mardi d'avril. Organisée par quelques élus, la réunion «La fin de vie et la gauche, entre certitudes et malentendus, députés de gauche, prenons le temps d'en parler», a attiré quelques curieux venus écouter les spécialistes invités, médecin, philosophe ou psychologue, tous opposés au projet défendu par le président de la République. En faveur du texte, l'insoumis François Ruffin, l'écolo Sandrine Rousseau ou encore le socialiste Boris Vallaud sont tout de même passés voir ce qu'on a renommé «la réunion de la gauche des contre». «C'est un sujet compliqué sur le plan éthique, explique le patron des députés PS. Je veux entendre les doutes et les questionnements. Il n'y a pas le camp du bien et le camp du mal et je n'aime pas partir sur des sujets compliqués avec des certitudes.» Mais dans la salle, plusieurs élus s'agacent du ton moralisateur des intervenants. «On a le droit de ne pas être d'accord, mais ce que j'ai entendu était sans aucune nuance», regrette Rousseau, très impliquée personnellement sur ce sujet.

L'écrasante majorité de la gauche votera pour le projet de loi au menu des députés en séance ces deux prochaines semaines et qui prévoit d'ouvrir une «aide à mourir» pour certains patients. «En 1999, le premier texte examiné au Sénat sur le droit à mourir est cosigné par Jean-Luc Mélenchon, c'est structurant pour nous», raconte le député La France insoumise Hadrien Clouet. Ecolos, socialistes et communistes devraient aussi largement voter pour. Mais quelques élus de gauche sont, sinon opposés au texte, du moins réticents. «J'ai bien conscience d'être à contre-courant», raconte le communiste Pierre Darrhéville, qui a coorganisé la réunion salle Lamartine avec une poignée de députés. En première ligne contre le projet de loi, le député PCF des Bouches-du-Rhône tente de faire entendre la voix des contre avec ses collègues communistes Soumya Bourouaha et André Chassaigne, les socialistes Dominique Potier et Cécile Untermaier ou encore l'écolo Lisa Belluco.

«Basculement éthique»

Au Sénat, Patrick Kanner, le patron du groupe socialiste, envisage «deux ou trois clauses de conscience» chez les siens. «Je sens bien qu'on veut nous faire croire que c'est une idée de gauche, mais je ne vois pas en quoi», explique Darrhéville qui, comme tous les contre, pointe l'état des soins palliatifs en France. Selon la société française d'accompagnement et de soins palliatifs, seuls 30 % des patients qui en auraient besoin y ont accès, par manque de structures spécialisées et de soignants. «On meurt mal dans notre pays, on souffre, s'indigne l'élu de Martigues. Aujourd'hui, c'est plus facile d'avoir accès à des produits létaux qu'à des centres antidouleurs. Or, quand les personnes sont prises en charge, ça change la donne. Quel message envoie-t-on ? La société doit dire à quelqu'un qui veut en finir "on tient à toi, on va t'accompagner". Evoquant un «basculement éthique», il interroge : «à partir de quel moment une vie ne vaut plus la peine d'être vécue ? Comment peut-on répondre à cette question dans une société de la performance et de la productivité ?»

Comme toute la gauche, Sandrine Rousseau demande un droit aux soins palliatifs. L'écolo va défendre un amendement en ce sens «pour que l'aide à mourir n'intervienne pas à défaut d'autres solutions, sinon on a un problème éthique majeur». Elle regrette cependant la lecture de ceux qui s'y opposent : «c'est presque perçu comme un assassinat alors que le sujet, c'est la souffrance». Son collègue communiste Sébastien Jumel admet de son côté «changer de curseur», en discutant avec Pierre Darrhéville. «A partir de quand une vie n'est plus considérée comme digne d'être vécue ?, s'interroge-t-il sans se prononcer contre le texte. Dans une société confrontée au vieillissement, avec des problèmes d'Ehpad, à partir de quand devient-on une charge pour ses enfants ou pour la société ? Un patient pour lequel il n'y a plus rien à faire, ça coûte cher.»

«Les interdits protègent la vulnérabilité»

Le député socialiste Dominique Potier, «carrément contre», parle de «deux humanismes qui s'affrontent». «La sagesse des sociétés sur l'interdit de donner la mort trouve son accomplissement dans l'abolition de la peine de mort. Avec cette loi, c'est une digue qui tombe qui peut donner lieu à des dérives», dit-il. Lui aussi pointe le risque de considérations «économiques» et «gestionnaires» dans une société libérale. «On entretient la fiction du libre arbitre, estime-t-il. Partout où le droit à mourir est en vigueur, il y a une prévalence des milieux défavorisés. Mon étonnement, c'est l'enthousiasme de la gauche à cet égard. Si le progressisme, c'est ça, je veux bien être conservateur.»

Les «contres» convoquent ainsi une idée essentielle à gauche, résumée par la maxime du prédicateur catholique Jean-Baptiste-Henri Lacordaire, selon laquelle, «entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, entre le maître et le serviteur, c'est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit». «Comme en matière sociale, la loi et les interdits protègent la vulnérabilité, estime Darrhéville. La liberté est une fiction quand on est le plus fragile. On est conditionné par l'idée qu'on coûte cher à la Sécu, qu'on est un poids pour les siens...»

Souvent des «cathos de gauche»

Une rhétorique qui agace les «pour». «Ce n'est pas vrai qu'on ouvre la porte aux gens qui ne peuvent pas payer leur maison de retraite, estime une socialiste. C'est ce qu'on appelle la porte fatale en science, comme si la recherche sur les embryons allait forcément déboucher sur le clonage par exemple.» Dans ce camp, certains notent que les opposants au texte sont souvent des «cathos de gauche». Pierre Darrhéville, par exemple, est un ancien de la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC). «Mon histoire est connue mais je ne m'arrête pas là en tant que responsable politique, assure-t-il. C'est une manière de nous discréditer. Est-ce que la société peut s'autoriser à donner la mort ? Ce n'est pas une question de transcendance mais une réflexion politique. Je sens que ça gêne à gauche mais ce sont des interrogations qui méritent d'exister.» Dominique Potier, qui s'inscrit dans le christianisme social, assume lui aussi cet héritage mais regrette qu'on renvoie le débat au religieux «pour éviter une controverse philosophique vitale à gauche». Au-delà du projet de loi sur la fin de vie, il estime que le «progressisme qui se nourrit uniquement de la conquête des droits individuels est une impasse individualiste dont la gauche crève. C'est important de le dire, même si c'est minoritaire.»

[–] dnvnl@jlai.lu 6 points 6 months ago

Quand on disait il y a quelques annees que le fascisme ne reviendra pas avec des bottes ou des chemises mais avec un costard on avait pas totalement tord.

[–] dnvnl@jlai.lu 1 points 7 months ago* (last edited 7 months ago)

Grace a la BNF tu peux acceder gratuitement a cet article pour savoir comment gerer ta fortune. Seule condition : etre au chomage ou au rsa

 

TLDR : le fameux projet d'amazon (celui de magasins autonomes sans personnel de caisse qui vous facture grâce a une "IA" qui sait quels articles ont étés pris) repose sur le travail d'un millier de personnes en Inde surveillants les images en direct pour tenir les comptes.

[–] dnvnl@jlai.lu 4 points 7 months ago

bah oui... Tu pensais quand meme pas que les flics protégeaient les citoyens ?

[–] dnvnl@jlai.lu 5 points 8 months ago (2 children)

Ca fait longtemps que FO traine avec l'extreme droite et pas qu'a beziers.

Le syndicat qu'on voyait dans les manifs antipass c'etait FO. Et je ne retroue plus l'extrait, il y avait une interview sur france info (?) ou une delegue de FO se felicitait d'avoir un contact direct avec le prefet de paris lors des manifs.

Syndiquez-vous si vous le pouvez, mais certainement pas a FO.

[–] dnvnl@jlai.lu 2 points 8 months ago

Nan mais ce qui fait vraiment peur c'est la chine avec son truc de credit social. La c'est des technologies occidentales donc c'est safe

[–] dnvnl@jlai.lu 2 points 9 months ago* (last edited 9 months ago)
 

Une courte vidéo sur la "fraude" qu'est Francois Ruffin.

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submitted 1 year ago* (last edited 1 year ago) by dnvnl@jlai.lu to c/antitaff@jlai.lu
 

Il y a quelque temps, une émission de France Culture a été partagée sur reddit (r/antitaff) . Celle-ci parlait de l'origine du mot "méritocratie", qui est tiré d'un livre écrit en 1958 par Michael Young.

L'émission de France Culture en question est disponible ici

J'ai mis du temps avant de trouver un PDF en français de ce livre, mais je l'ai finalement trouvé, et voici les liens pour le PDF et pour l'EPUB.

Dans le livre, sous prétexte d'étudier la formation de la révolution imminente, on retrace l'histoire de l'éducation en Angleterre et comment l'effort et le QI vont former le mérite, devenant ainsi une partie intégrante de l'idéologie des classes dirigeantes.

 
 

Bon, vraisemblablement le fait que notre président soit hue n'a pas été appréciés. Les ayants droits de ces images ont demandes a twitter de supprimer les vidéos de l'ouverture de la CDM de rugby.

J'ai hâte d'avoir la justification (s'ils la donnent). Droit a l'image ?

Par exemple : https://twitter.com/PoliticalNewsFR/status/1700215585932529970

 

Bonjour bande de flemmard.e.s !

Je viens vers vous pour vider un peu mon sac concernant ma situation pro mon avis plus globalement sur le travail.

Voilà, je bosse depuis quelques années maintenant et depuis 1 an, j'ai la chance (l'immense chance) de pouvoir bosser dans un poste télé-travaillable. J'ai aussi la chance d'avoir une boite pas trop reloue la-dessus, c'est à dire qui n'ai pas supprimée le télétravail. J'ai donc le droit a 3 jours de TT par semaine. Et qu'on se le dise, en tant que flemmarde, je ne fais RIEN en TT. Mais strictement rien : je scroll sur reddit, je joue sur mon pc, je lis des bouquins, ... Bref, la seule contrainte que j'ai en TT est de devoir rester chez moi en étant disponible aux très rares sollicitations de ma hiérarchie. Concernant les deux autres jours (ceux que je dois faire en présentiel), je ne vais pas mentir, je ne fais pas grand-chose de plus... Je discute un peu des "projets" de l'entreprise, je bosse un peu mais tout en faisant semblant 75% du temps, j'ai même trouvé un moyen de contourner le système de blocage de site de mon entreprise, ce qui me permet de continuer a me balader sur internet comme chez moi.

Est-ce que je me fais chier ? Est-ce que je culpabilise de ne pas être suffisamment productive pour la "société" ? Est-ce que j'ai honte de profiter de cette entreprise qui "m'offre" le télétravail ? Pas du tout. Je suis même fière de ne rien faire pour eux dans un sens.

Le point où je voulais en venir c'est que je pense qu'un jour cela va se voir (le job dans lequel je suis n'étant pas, à mon sens, une "planque" non plus). Tous les 15j je dois rendre des comptes à mon manager, lui donner des stats sur combien de dossiers ont été traités, l'avancement de tel ou tel sujet, ... Et j'appréhende un peu ce moment à chaque fois. Je me dis tout le temps qu'il va me cramer, que je vais avoir droit à une remontrance ou un truc du style. Mais cette fois n'est toujours pas arrivée. Non pas que ça me fasse peur (en plus vous avez sans doute compris que j'en ai strictement rien à faire de mon boulot), mais c'est plutôt que j'ai un sentiment mitigé vis à vis de ça : je stress avant et pendant chaque point d'avancement pour justifier ma non-productivité et même temps, je serais soulagée que l'on me crame enfin pour pouvoir me faire virer.

Je souhaite en effet me faire virer à un moment donné pour pouvoir toucher le chômage. J'ai calculé vite fait avec le chômage et mes économies je tiendrais environ 2 ans avant de devoir trouver autre chose. Mais pourquoi vouloir se faire virer d'un poste comme ça, où l'on ne me demandera pas grand chose même apres la découverte de la supercherie ? Eh bien je suis consciente que l'un des plus gros problème actuellement, c'est le travail (au sens large, comprenant les indépendant.e.s). Et je n'ai plus envie de le cautionner. On produit de la merde constamment et surtout on veut en produire de plus en plus. Et je ne parle pas que de ma boite.

On nous fait faire des millions de voitures qui ne nous serviront qu'à aller bosser toujours plus, pendant que total détruit l'afrique pour exploiter des puits de pétrole pour les faire fonctionner. On construits de milliers d'immeubles en bétons qui s'écrouleront dans 50 ans sous unique prétexte que cela donne du travail aux gens qui les construises. On crée des applications qui vont gérer l'automatisation du tri des gens pour pole emploi ou pour la CAF. On va construire des armes pour satisfaire les lubies guerrières de quelques-uns. Tout ceci est fait au nom du travail : "Oui mais cette usine chimique classée seveso va créer du travail dans la région". Le travail devrait, selon les politiques, tout résoudre. C'est presque s'il ne faudrait pas juste travailler pour travailler. Qu'est-ce qu'on produit ? Est-ce si important finalement ? Des produits boursiers, des poires, des téléphones, des magasins, on s'en fout, ce qui est important c'est de travailler on a dit ! Tant que les marchés sont satisfait et sont en bonne santé, peu importe ce que l'on produit donc.

En réalité, est-ce que c'est même si important que ça de produire quelque chose ? Combien de projets sont abandonnés par les entreprises ? Combien de projets sont maintenus alors que l'on sait qu'ils vont se casser la gueule d'ici 6 mois/1 an ? Et parmi ceux qui restent, combien sont ceux qui ne sont pas nuisibles en réalité (dans le sens ou l'on pourrait très largement s'en passer ou mieux vivre sans) ? La valeur étant créée par le travail humain et par lui seul, comme disait je sais plus qui : "pour le capitalisme, il est tout à fait pertinent de creuser un trou puis de le reboucher". Ça ne m'a jamais paru aussi criant de vérité.

Pour donner un exemple peut-être plus concret et parlant à la masse d'ingés info qui constitue ce sub : je ne pense pas que l'IA détruise tant d'emploi que ça. Ce qui risque de se passer c'est plutôt qu'avec la même masse de dev, on produise encore plus de logiciels de merde. Y aura peut-être des reconversions, mais le but sera encore de créer de la valeur grâce au travail humain donc je ne pense pas que ces personnes seront virées en masse. C'est comme dans tous les secteurs de toute facon : si la machine tourne plus vite, alors vous devrez travailler plus vite pour suivre la machine.

Même la gauche a peur (ou a-t-elle ?) de questionner tout ça. Une des solutions serait de "planifier le travail", de se préparer à une transition écologique, mais dans l'unique but de pouvoir continuer ce qu'on fait aujourd'hui. L'autre serait de le "répartir". Répartir quoi ? Si c'est pour voir le PDG de total construire avec ses ouvriers directement les pipelines, laissez-moi vous dire que c'est une idée de merde. Je ne vois pas de partie ou des groupes politique d'ampleur qui soit capable ne serait-ce que de "questionner le travail" et surtout de le faire sans tomber un jour ou l'autre dans le poncif "il faut préserver les emplois".

Ne vous inquietez pas les jean-michel grocervo qui trainent par ici : je suis bien consciente du fait qu'il faille bien manger et loger quelque part. Et que dans cette société de merde, le seul moyen de le faire est de vendre sa force de travail à des exploiteurs (ou alors de s'auto-exploiter). Mais à un moment, est-il possible de remttre en cause le travail en tant que tel ? Peut-on dire que oui, le travail nous détruit littéralement ? Si vous souhaitez ne pas vous poser ces questions ou même que vous êtes irrités au simple fait que d'autres gens se les poses, vous pouvez retourner prier le dieu travail et sacrifier deux/trois agence pole emploi pour votre divinité. Ne perdez pas plus votre temps ici.

En somme :

On va arriver à un stade il fera 35 degrés au printemps, mais il faudra encore travailler dans nos beaux bureaux climatisés pendant que la biodiversité brule, que les réfugié.e.s sont abattues par l'armée, ... Nous devrons alors nous réjouir que les concessionnaires auto vendent leurs chars d'assaut éléctriques, que nestlé vende la seule eau potable qu'il reste, que les mairie bétonnent de plus en plus d'endroit (même sous prétextes ecolos), ...

Mais comme si c'était pas suffisant, on se dirige vers un pays avec une extrême droite au pouvoir, ou les flics soutenus par tous les médias (ou presques) pourront tuer n'importe qui dans la rue sous un prétexte bidon. Et on sait toutes et tous très bien ce qui arrive avec l'extrême droite au pouvoir : interdiction des syndicats, plus de possibilité d'organisation collective, répression systématique de tout mouvement s'opposant au pouvoir sans compter le racisme la misogynie et j'en passe... Dites adieu aux 35h, à la retraite et tout ce qui nous permet de ne pas être totalement esclaves du travail (et à toutes vos libertés au passage (mais vous aurez toujours la liberté de travailler ... ouf)).

Plus j'y pense et plus je me dis que l'obsession pour le travail nous mène vers ce monde de merde, donc autant que je me barre de mon entreprise, que je profite de ce que je peux et éventuellement en profiter aussi pour militer un peu plus que ce que je fais actuellement.

Bref, j'en ai ras le cul de cette société de merde.

Que brule le travail, les patrons et les bourgeois.

PS : Je suis tombée sur ça en cherchant le nom du gars qui rebouche le trou : https://ploum.net/creusez-un-trou/index.html. C'est un article certainement plus construit que mon pavé bien que je ne soit pas d'accord avec tout.

PS 2 : Post écrit et envoyé sur mes horaires de travail bien évidement.

PS 3 : Repost de reddit

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submitted 1 year ago* (last edited 1 year ago) by dnvnl@jlai.lu to c/antitaff@jlai.lu
 
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