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Communauté de secours:

founded 2 years ago
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Des travaux d’intérêt général ont été requis contre trois étudiants, en classe préparatoire scientifique dans un prestigieux lycée marseillais, pour avoir respectivement mâché une souris, filmée la scène et diffusé la vidéo sur les réseaux sociaux.

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La marque «Fils de berger» propose quatre t-shirts à l’effigie du célèbre homme politique béarnais, au prix de 29,90€ chacun.

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submitted 1 month ago* (last edited 1 month ago) by Camus@lemmy.ca to c/france@jlai.lu
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Nous ne voulons pas d’une société raciste. Nous voulons pour nos voisin·es, collègues de bureau, d’atelier, nos camarades d’amphi, pour notre médecin, notre boulanger·e, pour la copine ou le copain de classe de nos filles, de nos garçons… une réelle égalité des droits.

Nous vivons ensemble, et ne concevons pas la société autrement que dans le respect de ce qui nous lie. La fraternité est aux côtés de la liberté et de l’égalité sur le fronton de nos édifices publics. Ces grands principes doivent se traduire par l’accès effectif à tous les droits, pour toutes et tous ; par l’accueil et la valorisation de la diversité qui fait la richesse de notre pays, de tout pays ; par le développement des solidarités pour et avec celles et ceux qui en ont besoin.

Travailleuses et travailleurs étrangers, personnes exilées, étudiantes et étudiants internationaux… qu’ils et elles soient arrivés hier ou il y a 20 ans, toutes et tous se retrouvent la cible de politiques migratoires qui voient en l’étranger un criminel en puissance, un « indésirable ».

La loi immigration de janvier 2024 et le Pacte Asile & Immigration de l’Union européenne ont encore radicalisé des politiques répressives et brutales, généralisant la maltraitance administrative. Les politiques publiques sont aujourd’hui dévoyées et utilisées comme des outils pour surveiller, arrêter, enfermer, expulser… C’est sur cette toile de fond que prospèrent au quotidien la xénophobie, la stigmatisation et les discriminations.

Les mers ramènent sur nos côtes les corps de celle et ceux que le choix politique d’une « Europe forteresse » a condamné·es ; des exilé·es venu·es chercher la protection à laquelle elles et ils ont droit sont renvoyé·es vers d’atroces destins dans des pays qui violent les droits fondamentaux autant que le droit international ; des enfants et des adolescents sont abandonnés par les institutions qui devraient les protéger ; des personnes qui travaillent, étudient, vivent avec nous sont harcelées et traitées comme des délinquants faute de recevoir les documents qui légaliseraient et pérenniseraient leur séjour ; des résident·es de longue date rencontrent des difficultés indues pour la prolongation de leur titre de séjour, et se retrouvent de ce fait plongé-e-s dans une dramatique spirale, perdant leur travail, leur logement, leurs droits sociaux et leur couverture médicale.

L’extrême droite développe le fantasme d’une population « étrangère » présentée comme trop nombreuse et « inassimilable ». Elle attise auprès de la population le rejet des « étrangers » qui — selon elle — seraient la cause de tous les maux socio-économiques endurés par la société. En écho, le gouvernement instrumentalise cette peur de l’autre et prépare une énième loi toujours plus répressive qui pourrait s’affranchir, cette fois, du cadre de l’État de droit. Cette surenchère, contraire à nos valeurs d’humanité et de solidarité à la base de notre pacte social, abîme profondément nos sociétés.

Il faut réagir ! Nous sommes déjà nombreuses et nombreux à le faire au quotidien, en dépit des menaces qui pèsent sur nos militant·es syndicaux et associatifs qui s’engagent auprès de celles et ceux qui sont privé·es de leurs droits et de leur dignité pour une couleur de peau, une religion ou le simple fait d’être né-e ailleurs.

Des millions de citoyennes et de citoyens pensent comme nous et sont prêts à faire retentir la puissante voix de la solidarité !

Le 14 décembre, manifestons partout en France pour défendre le respect de la protection et des droits des travailleuses et travailleurs migrants, de leurs familles et de toutes les personnes exilées !

Et le 18 décembre, Journée internationale des migrants, en meeting unitaire à Paris (retransmis en direct, lien à venir) et dans d’autres initiatives en régions, réaffirmons plus encore l’impérieuse nécessité de l’égalité des droits pour toutes et tous, né·es ici ou venu·es d’ailleurs !

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OK la technique ne casse pas des briques, mais sentir sa voix porter, c'est bon pour l'ego.

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" 50 accusés qui auraient comis un viol, vous avouerez que c'est une sacrée coincidence, il est plus probable qu'elle l'ait cherché "

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Joueuse hors pair, Ava Eugene s’apprête à rejoindre le plus haut niveau de compétition du jeu vidéo e-sportif « Valorant ». Ce qui provoque la colère de nombreux fans de jeux vidéo compétitifs, lesquels multiplient les invectives transphobes.

A seulement 18 ans, Ava « florescent » Eugene est déjà l’une de ces figures qui ont marqué l’e-sport de leur empreinte. Joueuse professionnelle de Valorant, la Canado-Vietnamienne a remporté avec son équipe le championnat Game Changers, sorte de coupe du monde féminine et inclusive, qui s’est achevé dimanche 17 novembre.

Un titre qu’elle avait déjà décroché en 2023 et que ses coéquipières de Shopify Rebellion lui doivent assurément, tant sa prestation a, à chaque fois, surpassé toutes les autres. Si bien que, jeudi 5 décembre, l’écurie e-sportive norvégienne Apeks, qui évolue quant à elle sur le circuit majeur de Valorant, le Champions Tour EMEA, a officiellement intégré la cyberathlète à son équipe.

Avec ce transfert, « florescent » (qui n’a pas donné suite aux sollicitations du Monde) devient la toute première femme à rejoindre le plus haut niveau de la compétition sur Valorant. De là à y voir une avancée à célébrer, dans un secteur qui peine encore à se féminiser malgré des circuits principaux ouverts aussi bien aux joueurs qu’aux joueuses, du moins sur le papier ? Pas pour tout le monde. Car au concert des félicitations se joignent d’innombrables commentaires transphobes, symptômes violents d’une discrimination de longue date dans l’e-sport, qui ne prend pas seulement pour cible la femme transgenre qu’est Ava Eugene.

Une discrimination protéiforme

« Lilith », professionnelle française de League of Legends (LoL), subit, elle aussi, cette transphobie. Au lendemain du triomphe de « florescent », la jeune femme de 27 ans a ainsi reçu de nombreux messages remettant en cause son identité de genre et clamant que « les trans [prenaient] la place des femmes dans l’e-sport ». « Dès qu’il y a une mise en visibilité d’une personne trans sur la scène e-sportive s’ensuit directement une vague de harcèlement », déplore auprès du Monde la joueuse, de son vrai nom Luna Benzerara-Arnoux.

Cette discrimination, elle la décrit comme protéiforme, au gré de ses passages dans des clubs français, comme Team Vitality ou GamersOrigin. « Ça a pris la forme de messages et de commentaires sur Twitter, de réflexions en jeu, de harcèlement sur Discord…, tout ça parce que je suis trans, énumère celle qui a joué dans des formations féminines, mais également mixtes. Des gens m’ont aussi menacée physiquement et d’autres m’ont “doxée” [c’est-à-dire ont divulgué des informations privées sur elle, comme son adresse]. »

A chaque fois, les raisons et les auteurs (des fans, mais aussi des professionnels de l’e-sport) sont les mêmes. On accuse les joueuses transgenres – les hommes trans sont moins nombreux et visibles dans le jeu vidéo compétitif – d’être avantagées par de prétendus avantages biologiques liés à leur sexe de naissance lorsqu’elles concourent avec d’autres femmes ; on les juge pour autant illégitimes à concourir avec des hommes, car elles n’en seraient pas tout à fait ; et, bien sûr, on commente constamment leur apparence.

« Traitée comme un être abject »

Dans un article scientifique intitulé « The Abject Scapegoat : Boundary Erosion and Maintenance in “League of Legends” » [« L’abject bouc émissaire : érosion et maintien des frontières dans League of Legends »], la chercheuse Elyse Janish détaillait, en 2018, certains éléments constitutifs de cette discrimination, en se penchant sur le cas de Maria Creveling, alias « Remilia ». Au mitan des années 2010, cette jeune Américaine transgenre a été la première joueuse de LoL à rejoindre le circuit compétitif majeur en Amérique du Nord et est devenue, dans le même temps, une cible privilégiée pour des fans d’e-sport ouvertement antitrans.

« Dans les commentaires sous les vidéos et les articles la concernant, les gens indiquaient clairement qu’ils trouvaient Remilia inintelligible, monstrueuse, décrit la chercheuse. (…) Son identité de genre est devenue le cœur de son altérité ; son entre-deux la rendait trop masculine pour être traitée comme une femme dans le gaming, mais trop féminine pour être traitée comme un homme. Elle a donc été traitée comme un être abject. » Elle est alors perçue comme « une menace » à exclure afin de préserver l’équilibre d’un milieu e-sportif « gangrené par une masculinité toxique qui s’efforce d’étouffer les revendications queer et féministes ».

En décembre 2019, « Remilia » est retrouvée morte à son domicile. « Tout le monde suppose que c’était un suicide », relate aujourd’hui Luna Benzerara-Arnoux, qui veut alerter sur l’impact psychologique que les attaques transphobes font peser sur ces e-sportives qui les vivent au quotidien. Dans une publication sur X, « Lilith » disait encore récemment « comprendre Remilia ». « Si on tire sur la corde, ça devient dur à vivre », regrette-t-elle, avant de reprendre : « Je ne vais pas m’empêcher d’exister parce que je suis trans. »

Faire bouger les lignes

Pour faire front, « Lilith » compte sur le contrepoids que sont les encouragements des joueuses professionnelles qui l’entourent et de certains fans d’e-sport. « J’espère qu’elle sera soutenue au quotidien et qu’elle aura la possibilité d’avoir différents exutoires », dit-elle au sujet de l’arrivée imminente de « florescent » dans un écosystème exclusivement masculin. Ces derniers jours, la jeune femme de 18 ans, qui a déjà, par le passé, eu maille à partir avec des détracteurs transphobes, a d’ailleurs été largement défendue sur les réseaux sociaux.

Julia alias « LittleBigSpy », une streameuse amatrice de 25 ans, fait partie de ces fans bien déterminés à épauler la cyberathlète prodige dans cette nouvelle étape de sa carrière. Bien qu’elle aussi s’inquiète pour « florescent » – « elle aura beaucoup plus de visibilité, (…) elle est très jeune et je sens que cette transphobie peut l’impacter » –, la Française, elle-même victime d’invectives antitrans sur Internet, considère que son modèle de réussite pourrait donner confiance à d’autres femmes.

« Lilith » aussi en est persuadée : la visibilité offerte aux joueuses concernées par les tournois les plus regardés est l’une des clés pour endiguer cette transphobie. « “Remilia” a ouvert la voie à beaucoup de femmes trans. Je pense qu’une personne comme “florescent” qui arrive sur cette scène fera forcément avancer les choses. » Peu importe les critiques haineuses, « il faut que ça se fasse, tranche-t-elle. Il faut une première à tout. »

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Alors quelques precisions :

-c'est l'hopital privé (clinique Valmy), donc pas un service public, meme si ils ont un service d'urgences (a mon avis inutile car ils rebalancent tout sur le CHU)

-La maternité du CHU est a l'opposé de la ville, donc pas "a quelques mètres"

-Ils n'auraient jamais dû la laisser repartir, mais appeler un SMUR pour la transférer, c'est là a mon avis le problème.

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Hon hon, notre maître est bien bon.

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Ça chauffe pour nous ? On vous dit tout !

 

Forcément, vous avez vu, lu ou entendu dire que ça chauffait pour 60 Millions. C’est vrai. Non pas que notre journal serait à l’agonie, mais parce qu’une certaine secrétaire d’État, en novembre dernier, a décidé, quelques semaines après sa prise de poste, qu’il serait bon « d’adosser » 60 Millions de consommateurs. Adosser une entreprise, en économie, signifie « l’allier à un groupe industriel ou financier pour bénéficier de son savoir-faire ou de sa puissance ». Il aurait été plus clair de dire « vendre » tout de suite, car tel est bien le projet. Oui mais voilà, peut-on vendre un magazine déjà « adossé » à l’Institut national de la consommation (INC), un établissement public avec des missions de service public, dont celles d’informer les consommateurs – ce que fait précisément 60 Millions ?

 

Nous pensons, et des spécialistes du droit avec nous, que ce n’est pas possible en l’état. Et surtout que les consommateurs, vous, lecteurs de 60 Millions, auraient tout à y perdre. Comment notre magazine, une fois privatisé, pourrait-il se targuer d’une parfaite indépendance à l’égard des groupes industriels, des fabricants, des lobbies ? Impossible. Aussi, nous avons décidé de nous battre pour pouvoir poursuivre notre mission. Vous voulez nous soutenir ? Signez notre pétition et faites-la tourner autour de vous. Et surtout continuez à nous acheter, à vous abonner. Si 60 Millions devait changer de pavillon et d’orientation, vous seriez en droit de vous désabonner ! Merci d’être là.

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Le ciné français va t'il mourir ?
Victor B nous éclaire sur la situation.
Ça commence a 1m44s.

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Putain, on a créé un monstre -_-

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A regarder avant de se faire porte voix de la macronie et de se prétendre de Goche,

Spoiler, la lfi, le nfp n'ont pas à faire de "compromis" et donc se compromettre pour ces gens. Lrem a jamais rien concédé au NFP...

Bon dimanche,

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Je traine sur Bluesky voir ce qu'il s'y passe et tombe sur du contenu pédo. Je l'ai signalé à la plateforme et sur Pharos y'a autre chose à faire ?

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